Comme un lundi
Il fait chaud, ça y est c'est l'été. L'été au printemps ce qui augure d'un TRES mauvais été ou d'une canicule (et vu que j'ai croisé mes copines les méduses dans le port de Bonifacio je crois que c'est la seconde solution qui est la bonne mais je peux me tromper ceci dit).
Dis toi que même en haute montagne on crève de chaud (je n'ajouterais pas la température lue grâce à Edouard en plein soleil, dis toi juste que j'ai chaud et aujourd'hui ils ont annoncé 35°c à la météo mets tes bas...).
Comme à chaque fois que je rentre d'un week end de 4 jours, je suis morte de fatigue à un point tel que je ne vais pas faire dans la longueur.
D'ailleurs j'ai bien peur de n'avoir rien à dire de construit et j'ai la rame de partir dans du cousu décousu.
J'ai une flopée de commentaire à lire, je vais y répondre dès que j'aurais un peu plus d'énergie (en même temps là c'est dimanche soir 21H c'est dur dur). Le pire c'est que ce matin je me suis levée à midi (non je n'ai pas vendu mini-moi) et je déteste ça, j'ai l'impression d'avoir perdu ma journée.
Ce qui n'est absolument pas le cas mais ça me fait cet effet, je ne pourrais plus faire de longues grass' mat comme quand j'avais 16 ans.
Je dois être vieille.
Mine de rien, en fait c'est pas je dois c'est je suis. J'avoue que sur beaucoup de points, je ne suis plus du tout celle que j'ai été.
Certes, ça fait plaisir puisque ça montre que j'ai grandit comme il faut, que j'ai mûris mais ça fait un choc quand même.
Je me suis même surprise, à apprécier de me la péter grave en conduisant à un train d'enfer la superbe bagnole du parrain de mini-moi . Ce dingue, il s'échappe un soir du resto me laissant les commandes de la cuisine (et je m'en suis tirée comme il fallait) et revient le lendemain à 12h30 avec un coupé cabriolet avec tout ce qu'il faut sous le capot.
C'est trop bon de rouler les cheveux au vent en dépassant allègrement les limitations en vigueur (oui je sais c'est mal BOUH que celui ou celle qui n'a jamais roulé au dessus de la limite me tire un pneu à la tronche).
Que dire d'autre?
Ah oui tiens, j'aimerais bien qu'on me dise pourquoi chaque fois que je rencontre un mec passablement dans mes goûts, il y a une sacrée couille dans le potage.
Et ne me dis pas que de toute façon un mec ça en possède (dans la normalité bien entendu mais je m'arreterais la pas envie de faire ma médisante pour une fois surtout sur un sujet aussi con comprenne qui pourra).
Ceci dit la couille elle est de taille là.
Enfin bref, j'ai passé un bon moment qui ne débouchera sur rien d'autre (faut pas déconner non plus) mais assez appréciable et inédit comme truc (si tu ne piges rien du tout à ce que je raconte je te rassure, je suis fatiguée et je laisse volontairement un gros flou sur tout ça, à toi de poser des questions si tu le souhaite, à moi d'y répondre si je le veux bien).
Sur ce, je te souhaite un bon lundi (le PIRE jour de la semaine) et je te promet des post un brin plus intéressant que celui la (ou pas).