Quoi de neuf sous le soleil?
De neuf pas grand chose à dire vrai, de beau pas trop non plus, d'agréable un petit week end dans le plus pur style "A quoi bon le pétrole?".
Samedi rivière, ou on s'ait dégotté un petit coin de paradis sous une cascade d'eau fraiche. Mieux qu'un massage en institut qui te coute la peau des fesses.
Dimanche, pic-nique alcoolisé (si je ne meurs pas d'une cyrhose il n'y a aucune logique dans ce bas monde) sur la plage (enfin sur la terrasse de la villa sur la plage, on va pas pourir la bouffe de sable non plus).
Enfin tout ça pour dire que vivre ici c'est formidable, mais la n'est pas trop le sujet.
Hier soir, petite soirée pates carbo/cactus ( nom de code de la bière à la téquila) consolage de chérinette qui en a gros sur le coeur elle aussi (tous des putes ma chérie) à la maison (oui je sais les gens ça sallit mais bon on a posé nos fesses sur la terrasse pour cause de trop grande chaleur, oui oui même la nuit, donc ça va si c'est sale dehors on s'en tapotte les dites fesses). Ca montre que je ne suis pas la seule qui en chie par amour (ou plutôt non amour c'est plus approprié). Peut être le grand drame de notre génération???
Ma génitrice, qui nous accompagné à la plage (fait suffisement étonant pour être remarqué) le croit en tout cas. Elle me disait même dans la voiture que je n'écoutais que des chansons tristes, écrites par des gens de mon age qui se cherchent toujours dans "l'autre" et qui pleurent la perte de leur amour (Rose, Saez, élodie Frégé...étaient dans la playlist du jour). Et encore elle comprend pas des masses l'anglais elle n'a donc pas profité de toutes mes chansons spleen.
J'ai beaucoup apprécié ce moment à discuter avec elle (autre fait plus rare que le safran). On a pu discuter de tout de rien. Moment de complicité en écoutant Supertramp (forcément c'était School que j'adore) qu'elle écoutait quand elle passait son permis (tout cela ne rajeunit pas la chanson).
Elle m'a parlé aussi de la déception de ma cousine (oui toujours la même je n'en ai qu'une en même temps, celle qu'elle appelle, qu'elle réconforte et tout et tout...Non je ne suis pas jalouse!!!), elle est un peu resté avec nous pas pour le repas mais sur la plage. C'était sympas, d'autant plus que sur le chemin du retour elle m'a dit quelque chose de gentil. Elle a trouvé que je m'en sortais bien niveau relationnel, malgré le fait que j'ai eu une maman triste, pas super sociable (ses frères et soeurs sont pareils c'est de famille) que j'avais des amis et tout.
On est loin du je suis fière de toi ma fille que j'aimerais qu'elle dise un jour (elle ne l'a jamais dit en même temps j'ai pas fait quoi que ce soit de ma vie qui pourrait la rendre fière je me fais donc une raison)mais ça reste malgré tout une parole gentille (et rare donc précieuse).
Niveau moral, bah je flippe de plus en plus à l'arrivée de Loulou mercredi soir même si je sais que je me fais du mourron pour rien c'est comme ça (j'aurais du appeler ce blog le blog d'une angoissée mais ça n'aurait pas coller non plus). Deux nuits de suite j'ai révé de lui (pas de Loulou hein d'ex Mr-moi faut suivre) pas des rèves trés nets ni des cauchemards, mais je ne me suis pas réveillée plus bas que terre. Peut être ça ira mieux, je n'en sais rien.
Coté bad du week end (je sais c'est pour tout le monde pareil mais si je râle plus c'est plus moi): demain on bosse FAIT CHIER. J'ai besoin de mes vacances, j'ai l'impression que le mois d'aout n'arrivera jamais, j'ai bien posé deux jours la semaine suivante pour profiter de Loulou (week end de 4 jours trop la classe!!!) mais ça ne fait pas vacances quoi. Mon billet de bateau traine sur mon bureau et à force de le regarder il va finir par disparaître...
Allez encore de la musique rien que pour toi qui me lit.
Samedi rivière, ou on s'ait dégotté un petit coin de paradis sous une cascade d'eau fraiche. Mieux qu'un massage en institut qui te coute la peau des fesses.
Dimanche, pic-nique alcoolisé (si je ne meurs pas d'une cyrhose il n'y a aucune logique dans ce bas monde) sur la plage (enfin sur la terrasse de la villa sur la plage, on va pas pourir la bouffe de sable non plus).
Enfin tout ça pour dire que vivre ici c'est formidable, mais la n'est pas trop le sujet.
Hier soir, petite soirée pates carbo/cactus ( nom de code de la bière à la téquila) consolage de chérinette qui en a gros sur le coeur elle aussi (tous des putes ma chérie) à la maison (oui je sais les gens ça sallit mais bon on a posé nos fesses sur la terrasse pour cause de trop grande chaleur, oui oui même la nuit, donc ça va si c'est sale dehors on s'en tapotte les dites fesses). Ca montre que je ne suis pas la seule qui en chie par amour (ou plutôt non amour c'est plus approprié). Peut être le grand drame de notre génération???
Ma génitrice, qui nous accompagné à la plage (fait suffisement étonant pour être remarqué) le croit en tout cas. Elle me disait même dans la voiture que je n'écoutais que des chansons tristes, écrites par des gens de mon age qui se cherchent toujours dans "l'autre" et qui pleurent la perte de leur amour (Rose, Saez, élodie Frégé...étaient dans la playlist du jour). Et encore elle comprend pas des masses l'anglais elle n'a donc pas profité de toutes mes chansons spleen.
J'ai beaucoup apprécié ce moment à discuter avec elle (autre fait plus rare que le safran). On a pu discuter de tout de rien. Moment de complicité en écoutant Supertramp (forcément c'était School que j'adore) qu'elle écoutait quand elle passait son permis (tout cela ne rajeunit pas la chanson).
Elle m'a parlé aussi de la déception de ma cousine (oui toujours la même je n'en ai qu'une en même temps, celle qu'elle appelle, qu'elle réconforte et tout et tout...Non je ne suis pas jalouse!!!), elle est un peu resté avec nous pas pour le repas mais sur la plage. C'était sympas, d'autant plus que sur le chemin du retour elle m'a dit quelque chose de gentil. Elle a trouvé que je m'en sortais bien niveau relationnel, malgré le fait que j'ai eu une maman triste, pas super sociable (ses frères et soeurs sont pareils c'est de famille) que j'avais des amis et tout.
On est loin du je suis fière de toi ma fille que j'aimerais qu'elle dise un jour (elle ne l'a jamais dit en même temps j'ai pas fait quoi que ce soit de ma vie qui pourrait la rendre fière je me fais donc une raison)mais ça reste malgré tout une parole gentille (et rare donc précieuse).
Niveau moral, bah je flippe de plus en plus à l'arrivée de Loulou mercredi soir même si je sais que je me fais du mourron pour rien c'est comme ça (j'aurais du appeler ce blog le blog d'une angoissée mais ça n'aurait pas coller non plus). Deux nuits de suite j'ai révé de lui (pas de Loulou hein d'ex Mr-moi faut suivre) pas des rèves trés nets ni des cauchemards, mais je ne me suis pas réveillée plus bas que terre. Peut être ça ira mieux, je n'en sais rien.
Coté bad du week end (je sais c'est pour tout le monde pareil mais si je râle plus c'est plus moi): demain on bosse FAIT CHIER. J'ai besoin de mes vacances, j'ai l'impression que le mois d'aout n'arrivera jamais, j'ai bien posé deux jours la semaine suivante pour profiter de Loulou (week end de 4 jours trop la classe!!!) mais ça ne fait pas vacances quoi. Mon billet de bateau traine sur mon bureau et à force de le regarder il va finir par disparaître...
Allez encore de la musique rien que pour toi qui me lit.